Essays

L’industrie du porno en tant qu’activisme antifasciste juif et terrorisme culturel

Greg Lansky et “The Wailing Wall”

NOTE: This is a French translation with addenda of Kenneth Vinther’s essay on the Jewish role in the field of pornography. Since this article can no longer be published in France with any assurance that it will stay online or that, if it does, the publishers will not be persecuted, we will publish it here on NV. Thanks to Francis Goumain for the translation. The article may be found in English here: Part 1Part 2Part 3

Ou comment Stanley Kubrick a pu dire que “A. H. avait eu raison sur à peu près tout”

par Kenneth Vinther

DE NOMBREUX PORNOGRAPHES et universitaires juifs admettent ouvertement que les Juifs s’adonnent à la production et la diffusion de pornographie pour subvertir et détruire la culture des gentils. Tout d’abord, établissons l’énorme prépondérance juive au sein de l’industrie du porno afin de couper court à toute affirmation en sens contraire. Kerl reconnaît dans son article que les pornographes les plus connus de l’histoire américaine – Ruben Sturman et Steven Hirsch – sont juifs… On peut raisonnablement supposer que l’industrie du porno a une influence profonde, sinon centrale, sur la formation de la sexualité des jeunes et leurs attitudes envers les membres du sexe opposé. Les Juifs voient la pornographie comme un outil pour lutter contre le « fascisme » et la discrimination sociale, et pour rendre la société sûre pour les Juifs.

À la suite d’une série de cas dans lesquels on a pu mettre en évidence que des sites pornographiques hébergeaient des vidéos de viols de filles mineures (que parfois les plates-formes ont refusé de supprimer), quelque 2 millions de personnes ont signé une pétition pour que soient fermés les sites incriminés et que leurs dirigeants soient poursuivis pour traite d’êtres humains (ce scandale a récemment abouti à un boycott de Pornhub par Mastercard et Visa). En réaction à la montée de la vague de mécontentement contre la pornographie, des publications grand public et des revues universitaires ont lancé une campagne pour dénigrer un mouvement en le qualifiant d’antisémite et de complotiste. Dans un article dénonçant les «racines d’extrême droite de #NoNutNovember», Rolling Stone voit le mouvement anti-pornographie comme «un concentré toxique de haine où se mêlent insécurité, antisémitisme, misogynie et homophobie», le tout mixé dans une «théorie du complot selon laquelle les Juifs dominent l’industrie du porno et utilisent la pornographie comme moyen de contrôler les blancs». L’article soutient en outre que «dans l’histoire, l’idéologie anti-masturbatoire a été utilisée par certains fascistes comme outil de contrôle social jouant sur la honte et la culpabilisation». Le New York Times a également attiré l’attention sur cette dangereuse «théorie du complot» qui, selon lui, ne serait pas étrangère à «la récente augmentation des actes d’antisémitisme». Les chiens de garde de l’antisémitisme et les journaux comme le Jérusalem Post ont manqué s’étrangler en entendant Midan Voice – du groupe Al-Jazeera – dire que les Juifs avaient créé et dirigé l’industrie du porno mus par la «haine du Christ».

Kristoff Kerl résume le problème dans la revue Studies in American Jewish Literature. Selon Kerl, le «fantasme» délirant d’un complot juif derrière la pornographie avancé par des groupes d’extrême droite, est le suivant: les Juifs se servent du porno pour « miner l’ordre prétendument «naturel» de la suprématie blanche», pour «subvertir . . . la sexualité chrétienne», pour provoquer un «bouleversement des mœurs . . . et une crise de reproduction au sein de la «race blanche»», pour promouvoir le métissage en «attisant l’attirance pour les hommes de couleur ou les Juifs des femmes blanches», et enfin, comme «une technique de guerre psychologique» pour domestiquer les mâles blancs. [1]

Est-ce que tout ce beau monde joue les oies blanches effarouchées ?

En dépit des dénégations aussi véhémentes que courroucées qui précèdent, la réponse est oui. Toutes ces «divagations» antisémites sont fondées. Qui plus est, tout ce qui est avancé peut être confirmé de la bouche même des pornocrates juifs trop heureux de pouvoir se vanter de leurs méfaits. En réalité, la plupart de ces assertions trouvent leur origine chez eux et non chez les antisémites. De nombreux pornographes et universitaires juifs admettent ouvertement qu’ils s’adonnent à la production et à la diffusion de pornographie pour subvertir et détruire la culture des gentils. Tout d’abord, établissons l’énorme prépondérance juive au sein de l’industrie du porno afin de couper court à toutes vélleités d’affirmation du contraire.

Le porno, une industrie Juive

Kerl reconnaît dans son article que les pornographes les plus célèbres de l’histoire américaine sont deux Juifs – Ruben Sturman et Steven Hirsch – respectivement le «Walt Disney du porno» et le «Donald Trump du porno», les deux ayant détenu le titre envié du plus grand distributeur de pornographie d’Amérique. Sturman a bâti son empire en tentant d’esquiver le FBI, stéréotype du bandit Juif victime de son avidité, il meurt en prison, son entreprise familiale va à son fils, David Hirsch, toujours en vie. Il est à la tête de Vivid Entertainment, le plus grand réseau pornographique au monde aujourd’hui.

Seth Warshavsky est un Juif américano-polonais connu pour avoir été le pionnier de la pornographie sur Internet, on le surnomme «le visage public de la pornographie en ligne». David F. Friedman a fondé l’Adult Film Association of America. William Margold était un réalisateur de porno, un activiste et le directeur de la Free Speech Coalition, une association professionnelle qui défendait les intérêts de l’industrie du film pour adultes. Paul Fishbein, Irv Slifkin et Barry Rosenblatt possèdent AVN Media, et Mark Spiegler possède Spiegler Girls (Spiegler serait également propriétaire du domaine du site Web pédophile ***, selon des fuites de l’ancien Porn Wikileaks). Parmi les plus notables des propriétaires de studios et magnats de l’industrie pour adultes on trouve les Juifs Seymore Butts, John Stagliano, Phil Harvey, Joe Francis, Winston Wolf, Gary Cremin, Bruce J. Friedman, Cable Rosenberg, Mike Kulich et Greg Lansky (Mark Collett donne un résumé ici). Luke Ford présente une liste plus complète (les archives des essais de Ford peuvent être trouvées ici): Ron Braverman, John Bone, Wesley Emerson, Herbert Feinberg, Hank Weinstein, Lenny Friedlander, Bobby Hollander, Rubin Gottesman, Fred Hirsch (le père de Steven Hirsch), Paul Apstein, Steve Orenstein, Jack Richmond, Theodore Rothstein, Ron Sullivan, Jerome Tanner, Armand Weston et Sam et Mitch Weston. En outre, les Juifs constituaient «la majorité des principaux interprètes masculins des années 1970 et 1980. . . on peut citer Buck Adams, Bobby Astyr, (Bobby Charles) R. Bolla (Robert Kerman), Jerry Butler (Paul Siderman), Seymore Butts (Adam Glasser), Roger Caine (Al Levitsky), David Christopher (Bernie Cohen), Steve Drake, Jesse Eastern, Jamie Gillis (Jamie Gurman), Ron Jeremy (Hyatt), Michael Knight, William Margold, Ashley Moore (Steve Tucker), David Morris, George Payne, Ed Powers (Mark Arnold alias Mark Krinski), Harry Reems (Herbert Streicher), Dave Ruby, Herschel Savage (Harvey Cowen), Carter Stevens (Mal Warub), Marc Stevens, Paul Thomas (Phil Tobias), Marc Wallice (Marc Goldberg), Randy West (Andy Abrams) et Jack Wrangler. [2] Si besoin était, le pornographe juif Michael Kulich vient corroborer tout cela en déclarant dans une interview de 2015 que « l’industrie pour adultes a été peu ou prou fondée par les Juifs » et qu’à l’heure actuelle «pour ainsi dire, tous les propriétaires d’entreprise sont juifs, ont des liens avec des Juifs ou ont travaillé à un moment ou un autre pour un Juif».

Et que dire de Playboy? Si Hugh Hefner n’était pas juif lui-même, Nat Lehrman – l’un des rédacteurs en chef de Playboy – reconnaît que pratiquement l’ensemble «de tout le personnel, l’était» [3] Gloria Leonard, qui se considère comme «une juive du Bronx tout ce qu’il y a de plus respectable», a inventé le sexe par téléphone et a fondé le magazine porno hardcore High Society. [4] On trouve un autre exemple intéressant dans le récent documentaire Netflix Circus of Books, qui évoque la vie d’un non moins «honorable couple juif» qui dans les années 80 a clandestinement fait circuler toute la pornographie gay de Los Angeles depuis l’arrière-salle de leur librairie. [5]

La «sympathique star du porno», Ron Jeremy, qui a fréquenté une école hébraïque, disait que l’une des raisons de l’omniprésence juive dans le porno était que «les familles juives ont tendance à être plus libres que les chrétiennes». [6] L’autre grande raison, selon le producteur Seymore Butts, c’est le népotisme juif (dont a d’ailleurs bénéficié Ron Jeremy à ses débuts):
«Si quatre personnes sont en lice pour un rôle, et que trois d’entre elles sont des goyim, le Juif, toutes choses égales par ailleurs, obtiendra le poste. C’est ma façon de travailler. . . On peut toujours essayer de me poursuivre en justice.” [7]

Ce qui suit est un extrait d’une interview avec un pornographe anonyme:

D: . . . Si vous êtes accueilli sur la scène porno, c’est incroyable, c’est comme une grande famille.

N: Oui, c’est une grande famille.

D: En fait, elle a presque l’impression d’aller dans un country club classé X tellement il y a de Juifs autour d’elle. Elle est simplement venue s’amuser. [Rires.] Vous vous rencontrez sur les plateaux de tournage comme à une réunion de famille, comme si vous retrouviez des proches dont vous étiez resté sans nouvelles depuis deux mois. [8]

L’industrie du porno est une grande famille, juive. Les Juifs se sentent entre eux dans la profession, à tel point que leurs publications font honneur aux membres de leur communauté qui ont «réussi à faire leur chemin dans le porno». Le réalisateur James Deen, qui a accordé de nombreuses interviews au Haaretz et au Jewish Daily Forward, a même été jusqu’à déclarer que son identité juive était partie intégrante de son travail:

Je n’ai jamais vraiment versé dans les bondieuseries, mais ce que j’aimais, c’était le mouvement sioniste, la culture qui le sous-tend, la communauté … Je m’identifie au judaïsme en tant que culture, et la culture m’a encouragé à apprendre, à poser des questions et à découvrir. Je sais photographier, éclairer et monter, car j’essaie toujours d’acquérir des connaissances au travail. Je ne pense pas que j’aurais ce type de mentalité si je n’avais pas eu mon éducation juive.

Dans la même interview, lorsqu’on lui demandait s’il se considérait comme un exemple dans la profession, il répondait:

Je ne vais pas partout en me disant que je suis juif et en me demandant qui d’autre est juif, je ne peux travailler qu’avec eux. Le respect s’étend universellement à toutes les races, croyances, couleurs, religions et tout ce qu’on voudra. Mais les Juifs savent que nous sommes meilleurs que tout le monde, c’est tout ce qui compte. C’est vrai que nous sommes le peuple élu ; c’est un fait. [9]

L’article déjà mentionné des Rolling Stones essaie de rejeter l’idée d’un lien manifeste entre les Juifs et la pornographie en soulignant que le PDG de MindGeek, «Feras Antoon, n’a rien d’un Juif». MindGeek, c’est l’énorme holding qui possède les principaux sites d’hébergement de pornographie comme Pornhub. Elle a émergé au début des années 2000 de la «Silicon Valley du Nord» à Montréal, aux côtés d’autres géants de la nouvelle économie comme Facebook, Google et YouTube. Bien qu’Antoon ne puisse être identifié comme Juif, l’article de Rolling Stone oublie de dire que le directeur général, David Marmorstein, en est un. De plus, le monopole de MindGeek est dû en grande partie à un lien que l’ancien propriétaire avait avec la société de Wall Street Colbeck Capital Management – dirigée par d’anciens dirigeants de Goldman Sachs – qui a accordé à la société un prêt de 362 millions de dollars en 2011. Si les cadres supérieurs de Colbeck Management, Jason Colodne et Jason Beckman, ne sont pas Juifs, ils ont d’étroites relations juives puisqu’ils ont cosigné la ketubah de Ryan Kavanaugh (le président de Warner Bros. Pictures), c’est-à-dire le document de mariage juif, pour l’un de ses mariages.

Les pornographes juifs et les organisations juives ont également joué un rôle central dans la légalisation de la pornographie aux États-Unis. Ainsi, le plaignant Samuel Roth (auteur de Les Juifs doivent vivre, un livre qui décrit la haine juive envers les gentils et leur culture) est connu pour avoir été le premier à avoir eu l’idée de faire appel au premier amendement pour défendre la pornographie, c’est l’affaire Roth c. États-Unis (1957). Même si le tribunal a statué contre Roth, il a été amené à redéfinir l’obscénité comme «un document qui traite du sexe de façon à inciter à la débauche». [10] Cette définition sera retenue par la Cour suprême dans l’affaire contre le demandeur Juif Marvin Miller dans Miller v. California (1973) et fera jurisprudence en devenant le «test Miller».

Mais plus tard, Al Goldstein, gagnera en justice en prenant le test Miller au pied de la lettre. Il se vante dans son autobiographie d’avoir piégé les procureurs en «les mettant en demeure d’avoir une érection à la barre» pour prouver si ses films et revues «poussaient ou non à la débauche». [11] Dans la foulée, dans deux autres affaires d’obscénité très médiatisées contre le pornographe Larry Flynt et l’acteur juif Harry Reems, les précédents obtenus par Goldstein ont effectivement exclu la possibilité de prononcer des condamnations pour obscénité et ont ouvert la voie à la normalisation de la pornographie hardcore. Goldstein s’en fera un titre de gloire: « Qui est Al Goldstein? Al Goldstein, c’est une putain de légende. Combien de personnes ont légalisé la pornographie? Je veux dire, ce putain de Fishbein est un amateur, ce Ron Jeremy est un amateur. Moi, j’ai changé la loi».

En ce qui concerne Larry Flynt, bien qu’il ne soit pas juif, c’est un des gros donateurs de l’Anti -Defamation League (ADL). Si l’ADL est d’abord l’une des principales organisations à la pointe de la censure des discours de haine sur les plateformes de médias sociaux et au niveau du gouvernement fédéral, elle a également pour habitude de soutenir la liberté d’expression des pornographes. Si l’ADL estime que le Premier Amendement n’a pas à protéger les discours qui critiquent les Juifs, elle est en revanche fermement convaincue qu’il doit protéger les pornographes. L’ADL a également décerné à Hugh Hefner son American Freedom Award lors d’un bal select en cravate noire en 1980, louant Hefner pour «l’empire qu’il a fondé et qui a eu un effet considérable, non seulement sur l’industrie de l’édition, mais également sur les mœurs de la société américaine». [12]

En outre, Abe Foxman – ancien directeur national de l’ADL – a fait l’éloge des Juifs de l’industrie de la pornographie, selon lui, des Américains emblématiques : « Ces Juifs qui entrent dans l’industrie de la pornographie l’ont fait en tant qu’individus poursuivant le rêve américain. [13]

Luke Ford raconte que «Publishers Weekly m’a reproché cette «généralisation blessante» à l’égard des Juifs, mais elle est justifiée. Les grands acteurs [dans l’industrie de la pornographie] sont juifs. [14]

Le professeur Nathan Abrams déplore pour sa part « que le 350e anniversaire de l’arrivée des Juifs aux États-Unis n’ait fait aucune allusion à l’apport décisif des Juifs dans ce domaine. . . pourquoi avons-nous honte du rôle des Juifs dans l’industrie du porno ? Que cela plaise ou non, ils ont joué un rôle moteur et il est temps qu’on en parle sérieusement. »[15]

Les Juifs représentent environ 2% de la population américaine, mais leur surreprésentation dans l’industrie du porno est telle qu’il n’est pas exagéré de dire qu’elle est leur chasse gardée. Le plus ironique, c’est que comme par hasard, la pornographie a été interdite en Israël au motif évident qu’elle cause «un grand tort aux enfants». Comme le résume Benjamin Garland, «dire que l’industrie de la pornographie est juive, c’est comme dire que le ciel est bleu».

Ainsi, la question n’est pas tant de savoir si l’industrie du porno est juive ou non, mais pourquoi elle l’est. Et l’une des raisons qu’on est parfaitement en droit d’avancer, c’est la subversion et la destruction de la culture et la civilisation blanche et occidentale.

De nombreuses preuves suggèrent que les Juifs voient et utilisent la pornographie comme une arme. Un exemple sans ambigüité a été donné par l’armée israélienne en 2002. Après avoir occupé la ville de Ramallah en Cisjordanie, les forces d’occupation israéliennes ont saisi les stations de télévision locales et ont commencé à diffuser de la pornographie hardcore pour provoquer un «choc psychologique» et briser le moral des habitants. On peut montrer que la distribution de pornographie hardcore atteint un objectif similaire en Amérique et en Europe occidentale.

Des universitaires comme le professeur Abrams considèrent le porno comme un prolongement de la subversion révolutionnaire par le sexe contre la culture occidentale menée par des marxistes juifs comme Wilhelm Reich et Herbert Marcuse, lesquels ont inspiré de nombreux pornographes juifs à l’avant-garde de la légalisation de la pornographie dans les années 70. L’un d’eux se souvient être allé dans des studios pornos avec «mes cheveux jusqu’au cul, une copie de la Révolution sexuelle de Wilhelm Reich sous le bras, et en gueulant sur le travail, l’amour et le sexe». [16]

Dans la littérature de ces intellectuels et activistes judéo-marxistes de premier plan, il existe un fil conducteur permanent et corrosif d’hostilité envers la religion, la moralité sexuelle et les familles stables des gentils. L’identité juive de ces intellectuels et leurs attitudes antifamiliales ne sont pas pure coïncidence: ces personnalités se sont sciemment identifiées comme juives et ont vu dans l’anéantissement des institutions sociales conservatrices un intérêt crucial pour l’ensemble de leur communauté, parce qu’elles pensaient que cela rendrait la société moins perméable à l’antisémitisme.

Ces mouvements montrent en quoi les Juifs considèrent la promotion de la décadence sexuelle comme bénéfique pour la communauté juive et pourquoi elle considère la pornographie comme une arme culturelle. Les figures de ce mouvement remontent au moins au début du 20e siècle, à commencer par le philosophe marxiste György Lukács.

Antécédents révolutionnaires

Georg Bernard Baron Lukács von Szegedin – abrégé György Lukács – était le fils d’un riche banquier d’affaires juif, baron par héritage dans l’ancien Empire austro-hongrois et l’un des intellectuels marxistes les plus influents du début du XXe siècle. En mai 1919, à la suite de la révolution bolchevique hongroise et de la création de la République soviétique hongroise de Béla Kun (également fils d’une riche famille juive), Lukács fut nommé commissaire du peuple à l’éducation et à la culture.

Lukács fut déçu par les classes ouvrières chrétiennes, qui – comme Cécile Tormay le rapporte dans son célèbre Journal d’un hors-la-loi – refusaient d’embrasser le communisme international et restaient fidèles à Dieu et à la patrie. Il en était ainsi venu à considérer la culture chrétienne occidentale comme un obstacle à l’émancipation sociale communiste et estimait que «l’avènement mondial de la révolution marxiste ne pourrait avoir lieu sans «l’annihilation des anciennes valeurs» et la création de nouvelles par les révolutionnaires».[17]

En tant que commissaire du peuple à l’éducation et à la culture, Lukács était bien placé pour «anéantir ces anciennes valeurs» en mettant en œuvre des programmes complets d’éducation sexuelle pour les écoliers et de promotion du féminisme. Ce programme fut dénoncé comme du terrorisme culturel et reçut de la part de ses opposants le sobriquet de «terreur rouge» en référence à une pièce de théâtre qui décrivait les massacres de masse bolchéviques de 1918 (dont les auteurs étaient également en grande partie juifs). [18]

Sous l’égide de Lukács,

Des exposés étaient faits dans les écoles et des imprimés conçus et distribués pour «sensibiliser» les enfants à l’amour libre, aux rapports sexuels, au caractère désuet des codes familiaux bourgeois, à l’archaïsme de la monogamie et pour dénoncer le corset de la religion qui prive l’homme de tout plaisir … À cet appel à la rébellion adressé aux enfants répondait un appel à la rébellion adressé aux hongroises. . . [Un document publié par le commissariat de Lukács] appelait les femmes du monde entier à s’unir et à briser les chaînes de l’exploitation et de la tyrannie masculine bourgeoise. [19]

Le programme de Lukács ne fit pas long feu, car la République soviétique hongroise fut vaincue et dissoute par la Roumanie en août 1919 et Lukács contraint de fuir à Vienne. Cependant, l’idée de sexualiser les enfants pour combattre les préjugés réactionnaires survivrait chez d’éminents communistes juifs tel que Wilhelm Reich.


Né dans une famille juive de la province austro-hongroise de Galice, Reich raconte son adolescence dans son autobiographie, Passion de Jeunesse (1988), dans laquelle il se remémore avec une tendresse nostalgique avoir violé les servantes de sa famille, s’être livré à des accouplements avec les animaux de la ferme, s’être masturbé en pensant à sa mère et avoir convoité la sœur de ses amis parce qu’il était fasciné par «ses longs cheveux blonds magnifiques».[20]

Après des études de médecine à l’Université de Vienne au début des années 1920, Reich poursuit une carrière de psychanalyste et se fera connaître pour sa synthèse des travaux de Freud et de Marx. Ayant rejoint le Parti communiste allemand en 1930, Reich publie deux livres qui auront une énorme influence: La Révolution Sexuelle(1936), qui donnera son nom au mouvement de libération sexuelle des années 60 et 70, et La psychologie de masse du fascisme (1933), qui attaquait les mouvements autoritaires de droite en Europe.

En Union soviétique, le mot psikhushka désignait les hôpitaux psychiatriques dans lesquels les dissidents politiques étaient internés après avoir été diagnostiqués comme malades mentaux par l’État. Dans la même veine de psychiatrie politisée, Reich disait avoir reconnu les convictions fascistes comme un trouble de la personnalité causé par le refoulement de la sexualité pendant l’enfance. Selon Reich:

Le refoulement des pulsions sexuelles, la répression des instincts et des désirs, rend l’enfant craintif, timide, obéissant, soumis à une autorité soi-disant «bienveillante»; elle paralyse les forces rebelles car toute rébellion est chargée d’angoisse; elle produit, en inhibant la curiosité et la pensée sexuelle, une inhibition générale de la pensée et des facultés critiques. Bref, le but de la répression sexuelle est de produire un individu conforme à un ordre autoritaire, prêt à s’y soumettra en dépit de toutes les vicissitudes et des humiliations. Dans un premier temps, l’enfant doit se conformer à la structure autoritaire de l’État miniature qu’est la famille; cela rend possible sa subordination ultérieure au système autoritaire général. La formation de la structure autoritaire passe par l’ancrage de l’inhibition sexuelle et de l’anxiété sexuelle. [21]

La prescription de Reich pour venir à bout du trouble de la personnalité fasciste? «Offrez aux enfants une véritable connaissance sexuelle [c’est-à-dire, encourager l’exploration sexuelle des adolescents, en particulier la masturbation], [pour] les libérer de l’angoisse sexuelle. . . Une fois que la masse des enfants et des adolescents aura pris conscience de sa sexualité, il en résultera un puissant contrepoids aux forces réactionnaires». [22]

Reich est devenu un paria en raison de sa bienveillance envers la pédophilie. Le Parti communiste danois n’a pas tardé à l’inscrire sur sa liste noire, et, après avoir fui en Amérique pour échapper au NSDAP, le gouvernement américain a également mis au feu ses recherches et l’a jeté en prison pour sa conduite au sein de son Orgonomic Infant Research Center, où les abus sexuels sur des enfants auraient été endémiques. [23]

En dépit de leur apparent échec, les théories de Lukács et Reich sur le démantèlement de la civilisation chrétienne par la libération sexuelle vont trouver un débouché en philosophie dans la théorie critique de l’École de Francfort.

L’Institut de recherche sociale, une appellation des plus anodines, a été fondé et financé par Felix Weil – le fils d’un riche marchand judéo-argentin – à Francfort, en Allemagne, en 1923. C’était un repaire d’intellectuels marxistes presque exclusivement juifs tels que Max Horkheimer, Theodor W. Adorno et Herbert Marcuse, qui s’attelaient à développer le marxisme en synthétisant la libération sociale marxiste avec la psychanalyse freudienne et les travaux de sommités comme Lukács.

Deux des principaux objectifs de l’Institut étaient d’une part de pallier la « crise du marxisme » (à savoir l’échec du communisme à s’implanter parmi les classes ouvrières d’Europe) et, d’autre part, de faire face au problème de la montée de l’antisémitisme (à n’en pas douter, une réaction liée au terrorisme culturel des marxistes juifs comme Lukács et Wilhelm Reich, aux persécutions massives des chrétiens par la Tcheka soviétique et aux révolutions déclenchées en Hongrie, en Prusse et en Bavière par des terroristes révolutionnaires juifs comme Rosa Luxemburg, Karl Liebknecht et Kurt Eisner). L’école a fui l’Allemagne en 1933 et a fini par trouver refuge en Amérique où elle a repris ses recherches de plus belle.

Les progrès de «l’art moderne», danse avec une prostituéeaffiche de propagande allemande des années 1930.

Marx disait que le but de la philosophie n’était pas d’interpréter, mais de changer le monde. l’École de Francfort se préoccupait également de développer des stratégies pour changer la société, «mais ils étaient [aussi] conscients des nombreux obstacles qui se dressaient sur le chemin» – entre autres, le christianisme, la famille et la morale sexuelle traditionnelle, ainsi que précédemment identifiés par Lukács et Reich. [24]

Marx avait vaguement prédit qu’« une ère de révolution sociale » commencerait après l’établissement du communisme. [25], l’École de Francfort renversait les priorités, estimant plutôt que la révolution sociale devait passer en premier.

L’une des plus marquantes contributions de l’École de Francfort a été son étude de la personnalité autoritaire. L’étude, financée par l’American Jewish Committee, a tenté d’identifier l’autoritarisme et l’antisémitisme comme un trouble de la personnalité attribué aux valeurs suivantes de l’enfance : «idéalisation des parents; soumission à l’autorité parentale et à ses valeurs; sentiment d’obligation et de devoir envers les parents; “orientation centrée sur. . . la famille homogène – totalitaire. [26]

L’étude ne donnait aucune procédure pour vérifier ou infirmer empiriquement l’hypothèse, ses auteurs visaient simplement à fournir une base schématique à la théorie philosophique et politique a priori de l’École de Francfort sur l’antisémitisme. Selon Horkheimer, l’étude était destinée à sortir des sciences sociales et «à être directement recyclée en propagande». [27]

Dans le droit-fil de Reich, l’étude faisait donc entrer dans le champ de la pathologie le fait d’avoir des relations familiales saines et proches. . . [cela devenait] un signe de trouble psychiatrique. . . Ceci dans le but de rendre [les sociétés occidentales] imperméables à l’antisémitisme. [28]

Même si l’étude n’était pas autre chose que de l’activisme politique antifasciste maquillé en recherche scientifique, elle a connu un immense retentissement dans les sciences sociales américaines – «aucun ouvrage depuis la guerre n’a eu une plus forte répercussion sur l’orientation des recherches universitaires en psychologie sociale». [29]

Le plus grand apport de l’École de Francfort est sa théorie critique, un cadre analytique marxiste modernisé, basé sur une synthèse de Marx et de Freud qui identifie l’oppression comme un phénomène social et culturel plutôt que politico-économique. Selon Horkheimer, le but de la théorie critique est «l’abolition de l’injustice sociale. . . [et] l’abolition des relations sociales qui entravent en pratique le développement. . . [aider] l’homme à s’émanciper de la contrainte par nature et de ces formes de vie sociale et des ordres juridiques, politiques et culturels qui sont devenus pour lui un carcan. [30]

En d’autres termes, la théorie critique est une révolution contre toutes les principales institutions sociales de la civilisation occidentale blanche – le christianisme, la famille patriarcale traditionnelle, la chasteté et les bonnes mœurs – que la théorie critique identifie irrémédiablement comme des systèmes d’oppression sociaux.

La théorie critique a ainsi jeté les bases de la Nouvelle gauche, un mouvement qui va se propulser sur le devant de la scène et l’occuper sans partage en défendant les droits civiques, le féminisme, les droits à l’avortement et les droits des homosexuels. Tout comme le bolchevisme, ce mouvement était majoritairement juif. Au cours des années 60, il y a eu «une migration politique massive de Juifs du marxisme orthodoxe vers la nouvelle gauche», déçus qu’ils étaient du communisme suite au tournant antisémite de Staline. De fait, pratiquement toutes les figures clés de la Nouvelle Gauche étaient des radicaux juifs comme Alan Ginsberg, Betty Friedan, Gloria Steinem et Daniel Cohn-Bendit.

Cohn-Bendit – membre du Parlement européen et qui préside encore à ce jour des groupes parlementaires – a combattu le fascisme à la manière de Reich en s’en prenant à des enfants de 5 ans dans un « jardin d’enfants antiautoritaire » anarchiste dans les années 60. Il décrit ces « rencontres sexuelles » dans son livre Le Grand Bazar (1975). [31]

Le «père de la nouvelle gauche», c’était le théoricien juif de l’École de Francfort, Herbert Marcuse, qui, selon les mots de Matt Taibbi – «nous a tout donné: du «Silence équivaut à la violence» à «Trop de démocratie», de la «Crise de la désinformation» au En défense du pillage ou encore du projet 1619 au Bébé Antiraciste». En outre, son ouvrage Éros et Civilisation venait compléter les travaux de Wilhelm Reich en fournissant un cadre théorique à la révolution sexuelle. Marcuse a également décliné la théorie critique dans les pratiques révolutionnaires de la Nouvelle Gauche en identifiant des stratégies et des données démographiques clés en vue d’un changement social et politique. C’est lui qui a notamment soutenu que les marxistes orthodoxes avaient eu une foi mal placée dans «le prolétariat qui n’est pas une classe révolutionnaire» . . . Là où la résistance des pauvres a échoué, ce sont les étudiants qui prennent la relève dans le combat contre la soldatesque et la police. . . [et] les militants noirs qui paient de leur vie. [32]

Marcuse, pressait la gauche de se tourner vers les étudiants radicaux des classes moyennes et les minorités pour en faire une nouvelle avant-garde révolutionnaire, à adopter des stratégies de longue haleine telles que le noyautage des institutions plutôt que le renversement violent de la société bourgeoise. Tout au long des années 60, il n’a eu de cesse de travailler à enrôler et à mobiliser «les étudiants pour en faire des sujets révolutionnaires», ce sont ses œuvres qui ont inspiré les soulèvements étudiants de la décennie dans lesquels les manifestants, souvent des anarchistes juifs, lançaient des exemplaires de La psychologie de masse du fascisme de Reich à la tête de la police. [33]

La révolution sexuelle comme antidote à l’antisémitisme

Un bref examen des origines intellectuelles de la révolution sexuelle révèle une lignée de figures juives radicales, toutes animées d’une hostilité viscérale et acharnée envers les piliers de la civilisation et de la culture européenne blanche: la religion, le conformisme sexuel et la cohésion des familles traditionnelles. Ces institutions sont considérées comme faisant le lit de l’antisémitisme en étant au cœur du capital social des gentils et donc, comme des menaces pour la communauté juive. Ces deux choses ne sont pas sans rapport. Comme le montre le Dr MacDonald, ces «intellectuels et militants politiques se sont fortement impliqués en tant que juifs et considéraient leur travail comme faisant avancer la cause de leur communauté». [34]

L’attaque contre les structures familiales fortes et patriarcales des gentils et de leurs mœurs, le remplacement des anciennes valeurs chrétiennes par le narcissisme égocentrique des 68, visaient à briser le capital social et la cohésion de l’Amérique et à faire advenir une société nouvelle définitivement exempte des tares de l’antisémitisme.

Un exemple fameux que nous n’avons pas encore abordé, c’est Sigmund Freud. Freud a jeté les bases intellectuelles des théories de Wilhelm Reich et de l’École de Francfort en lançant sa propre offensive contre le conformisme sexuel des chrétiens. Et tout comme l’École de Francfort, Freud considérait ses théories «comme un levier permettant de mettre fin à l’antisémitisme». [35]

Reich

Dans ses écrits, Freud s’imaginait lui-même en un moderne « Hannibal, chef sémitique de Carthage. . . en guerre contre la culture des gentils. . . [et contre] Rome et son institution fille, l’Église catholique », qu’il voyait comme irrémédiablement mauvaise, répressive et antisémite. [36]

On l’a vu, les théoriciens Juifs de la révolution sexuelle du 20e siècle avaient tous les mêmes objectifs en tête. Reich estimait que la famille était un «État policier miniature» qui produit des individus qui ont «peur de l’autorité», «bien comme il faut» et «soumis» – des individus qui sont conscients d’être les éléments d’un corps politique commun. En s’attaquant aux liens de parenté forts et à la morale sexuelle traditionnelle, le ciment qui lie toute communauté politique cohérente, les révolutionnaires juifs ont cherché à inaugurer un nouvel ordre social incapable de tenir debout par lui-même, donc incapable de discriminer les Juifs.

L’amour libre, la théorie critique de la race et les études de genres (autant de dérivés de la théorie critique) sont les idéologies dominantes de l’Occident aujourd’hui. Et maintenant que ces idéologies tiennent fermement le haut du pavé, on trouve de nombreux livres et articles dans lesquels la communauté juive se félicite de la corrosion de l’enveloppe culturelle et de son rôle d’avant-garde dans le mouvement de libération sexuelle. Les Juifs appellent leur mission de lutter contre toutes les formes de discriminations et de préjugés tikkun olam (en hébreu pour l’obligation juive de «guérir le monde»).

Un article du Times of Israel décrit ainsi comment: «‘tikkun olam’ a inspiré le premier homme politique ouvertement homosexuel au monde: Harvey Milk».

Un article de Tablet Magazine rappelle pour sa part que: «Le premier baiser lesbien de Broadway était à l’origine en yiddish».

Un article de Haaretz proclame fièrement que: «Des acteurs brillants comme Larry David et Sarah Silverman défient la puissante culture religieuse et familiale de l’Amérique et affirment leur judaïté en glorifiant l’obscénité».

En faisant l’éloge des Juifs lors d’un événement du Mois du patrimoine juif américain, Joe Biden déclarait: «Je vous fiche mon billet que 85 % de ces changements [dans l’acceptation du mariage homosexuel dans le public], que ce soit à Hollywood ou sur les réseaux sociaux, sont dus aux dirigeants juifs du secteur». Le professeur Abrams ne dit pas autre chose: «Ceux qui, à l’avant-garde du mouvement, ont forcé l’Amérique à adopter une vision plus libérale du sexe étaient Juifs». Les travaux de Freud, de Reich et de l’École de Francfort ont eu une influence considérable dans les sciences sociales et sur les campus, mais ce ne sont pas là les seuls moyens par lesquels les Juifs «guérissent le monde». Ils « soignent le monde» tout autant, en produisant et en distribuant une pornographie hardcore particulièrement violente et dégradante.

La pornographie l’arme de subversion massive des Juifs contre la sexualité chrétienne

D’après Nathan Abrams, professeur à l’Université d’Aberdeen, de nombreux pornographes juifs se considéraient comme des militants révolutionnaires sexuels inspirés par la praxis antifasciste de Reich et Marcuse. Et tandis que des étudiants et anarchistes juifs lançaient des cocktails Molotov sur la police «pour résister au fascisme de la domination blanche», dans les années 1960, des militantes juifs cherchaient parallèlement à libérer les femmes de ce que Betty Friedan appelait le «douillet camp de concentration du foyer» en s’enrôlant, de leur côté, en tant qu’actrices dans des films porno hardcore. [37] Pour Abrams, la surreprésentation écrasante des Juifs dans le porno est une manifestation évidente «de la tendance révolutionnaire/radicale des Juifs immigrés en Amérique, mais canalisée dans le champ sexuel plutôt que dans l’activisme gauchiste classique». [38]

Comme pour bien faire comprendre ce point, Nina Hartley, une actrice porno juive, s’est proclamée comme «la ‘juive blonde’, star du porno, issue d’une ‘longue lignée de juifs radicaux’ qui ‘veulent que tout le monde ait sa part – sa part de sexe, sa part des moyens de production, sa place dans une communauté communiste chaleureuse» et «sa place dans l’âge messianique annoncé». [39]

Autre exemple Juif, en France, Greg Lansky, un magnat du porno lui-même un obsédé et qui se délecte de l’attention des médias. Il illustre bien le fait que la pornographie n’est pas seulement une question d’argent. Dans une interview à Haaretz, Lansky raconte comme il «souffrait régulièrement d’antisémitisme» en France, au cours de son enfance. L’article le présente en photo enfant devant le Mur des Lamentations. Lui aussi, à l’instar de ses collègues et coreligionnaires, déclare «j’ai entrepris de me lancer là-dedans [le film pour adultes] parce que j’ai l’impression de participer au combat pour la tolérance». [40]

Abrams développe la signification que revêt cette «lutte pour l’acceptation» pour les pornographes juifs:

L’implication juive dans l’industrie X peut être considérée comme un pied-de-nez à l’ensemble de l’establishment WASP en Amérique. Certaines stars du porno se considéraient comme des combattants en première ligne dans la bataille spirituelle entre l’Amérique chrétienne et l’humanisme laïc. Selon Ford, les acteurs juifs du X se vantent volontiers «d’être comme la mouche du coche sur le dos de la bête puritaine». Ainsi, si on suit la logique de cet argument, c’est par haine atavique de l’autorité chrétienne qu’ils essaient de saper les bases morales de la culture dominante. Astyr se souvient avoir «dû courir ou se battre au lycée parce que j’étais juif. Il se pourrait très bien qu’une partie de ma carrière dans le porno soit une sorte de bras d’honneur à ces personnes . . .». La pornographie devient ainsi un moyen de souiller la culture chrétienne et, à mesure qu’elle pénètre le saint des saints américain (en étant sans doute consommée par ces mêmes WASPs), son caractère subversif s’affirme. Le porno n’est plus du type voyeuriste «ce que le valet de chambre a vu par le trou de la serrure»; sans cesse il conduit le spectateur à de nouvelles extrémités qui repoussent les limites de l’esthétique du porno. À mesure que de nouvelles positions sexuelles sont mises en scène, le désir de choquer (ainsi que de divertir) s’affirme de plus en plus nettement.

Dans la même veine, Al Goldstein, que nous avons déjà rencontré plus haut, disait dans une interview à Luke Ford : « La seule raison pour laquelle les Juifs sont dans la pornographie, c’est que nous pensons que le Christ craint, que le catholicisme tout entier craint. Nous ne croyons pas à l’autoritarisme. [41] «Même lorsque les Juifs vivent dans une société qui les accueille au lieu de les persécuter, ils exècrent encore la culture majoritaire». [42] Dans son autobiographie, Goldstein nous fait part d’une métaphore à lui par laquelle il rapproche ses publications pornographiques d’une héroïque résistance antifasciste et se présente comme le «pitbull hébreu». [43] Goldstein, qui se décrit également comme «un Juif peu sûr de lui et se dégoûtant lui-même», mentionne fréquemment avoir subi des avanies antisémites pour son travail et aurait souhaité être tué par un extrémiste afin de «mourir en martyr comme Lenny Bruce». [44] Il déclare également : «Je suis probablement l’incarnation de tout ce que les nazis haïssaient : le pornographe juif qui salit la morale pure du monde aryen blanc» et «le produit ultime de la défaite de l’Allemagne». [45]

La pornographie est une arme cruciale dans la lutte pour l’«acceptation» des Juifs, elle est dirigée contre l’antisémitisme et l’autoritarisme, c’est-à-dire contre les familles saines et la sexualité hétéro-normative traditionnelle. C’est pourquoi l’ADL, qui est là pour « combattre l’antisémitisme » quitte à violer les droits du premier amendement de quiconque critique le peuple juif, se bat pour les pornographes. Comme le dit E. Michael Jones, la pornographie est le véhicule par lequel les Juifs promeuvent une vision humaniste laïque de la société, qu’ils considèrent comme capitale pour garantir «à chaque Juif l’égalité civique et l’égalité des chances dont rêvaient les générations précédentes».

Une société tolérante envers toute forme de déviance sexuelle est une société tolérante envers les Juifs.

Les Juifs utilisent-ils la pornographie pour « subvertir la sexualité chrétienne ?

Verdict : coupable.

«Provoquer des changements dans l’orientation sexuelle» et «créer une crise de reproduction pour la race blanche»

Une fois la pornographie recontextualisée en tant que phénomène juif, et en particulier en tant qu’expression de la révolution juive contre la famille traditionnelle, son rôle dans le «déclenchement d’une crise de reproduction pour la race blanche» devient immédiatement évident, surtout si on la rapproche d’autres «réussites» et objectifs de la communauté.

La natalité a chuté partout dans le monde occidental. Une natalité inférieure au seuil de renouvellement a été été mise en avant par les partis au pouvoir en Amérique et en Europe occidentale pour justifier une immigration de remplacement massive en provenance du tiers monde (on observe d’ailleurs que les principales organisations de réfugiés et d’immigration sont majoritairement juives). Pourquoi la natalité s’est-elle effondrée?

L’une des raisons est la généralisation de l’accessibilité à la contraception et à l’avortement. Par exemple, le taux d’avortement (rapport des naissances vivantes aux avortements) oscille généralement autour de 20 %, ce qui signifie qu’une grossesse sur cinq aux États-Unis est interrompue. Comme mentionné précédemment, les Juifs étaient l’avant-garde du mouvement féministe. Le Jewish Daily Forward confirme: «Les Juives étaient surreprésentées dans les droits reproductifs partout aux États-Unis», et l’urgence de la lutte pour «l’autonomie reproductive» leur était dictée par «le souvenir cuisant . . . du nazisme». Parmi les grandes figures, on retrouvait Betty Friedan, Susan Brownmiller, Ellen Willis et Gloria Steinem (sans oublier les icônes comme RBG). Aujourd’hui, 83 % de la communauté juive en Amérique pensent que l’avortement devrait être légalisé dans tous les cas ou dans la plupart des cas, alors qu’en Israël, les avortements doivent être approuvés par un «comité d’interruption». En dehors de l’avortement, des personnalités juives ont également été de grands pionniers de la contraception, comme le chimiste Carl Djerassi, connu comme «le père de la pilule» (contraceptifs oraux).

Il vaut également la peine de relever qu’Hollywood, comme l’industrie du porno, est infesté de Juifs. Aux dires du rabbin Dresner, Hollywood est la principale institution à faire le siège de « la famille traditionnelle » en Amérique et dans le monde avec ses produits culturels qui font en permanence la promotion de «la rébellion, de l’épanouissement personnel et de la promiscuité sexuelle au profit d’une image désacralisée du corps et de l’esprit humain». Avec Hollywood, l’avant-garde c’est maintenant monsieur tout le monde.

La Bohême, c’est Broadway. Les blagues obscènes autrefois réservées aux spectacles burlesques et à certaines boîtes de nuit sont désormais disponibles sur des films et à la télévision. Las Vegas n’est plus une ville mais une façon d’être». [46] Sous l’influence croisée d’Hollywood et de la pornographie hardcore sur Internet, il n’est pas étonnant que les gens soient moins enclins à fonder une famille. Comme nous l’avons vu plus haut, l’attaque contre la moralité sexuelle chrétienne est délibérée, et certains éléments nous laissent penser que ses répercussions sur la natalité ne doivent rien au hasard non plus.

Le Dr Andrew Joyce attire ainsi l’attention sur les énormes campagnes médiatiques menées par les Juifs du spectacle et des médias au milieu du XXe siècle pour «combattre le fascisme» et «amener les Américains à haïr leur propre ethnocentrisme». Une personne-clé à cet égard aura été le chercheur juif en communication de masse, Bernard Berelson. En 1969, il entretenait une correspondance avec le président du Planning Familial, le Juif Frederick S. Jaffe, sur la façon de réduire la population de l’Amérique. Leur tristement célèbre correspondance est connue sous le nom de Jaffe Memo. Parmi les propositions figuraient l’avortement et la stérilisation obligatoires, et tandis qu’une ligne indiquait «dépression chronique» (doit-on comprendre: à provoquer parmi la population?), une autre prévoyait textuellement «d’encourager l’homosexualité». Nous voyons clairement ici que la promotion de l’hédonisme est liée à une stratégie des plus hautes personnalités juives pour freiner la croissance démographique de la population américaine (alors majoritairement blanche).

À cet égard, la pornographie a incontestablement joué un rôle dans la normalisation de la sodomie, amenant plus généralement à percevoir la sexualité comme étant principalement récréative, la déconnectant progressivement de sa fonction procréatrice. Des études suggèrent même qu’il pourrait y avoir une corrélation entre la consommation de pornographie et la montée d’orientations sexuelles alternatives. L’idée n’est d’ailleurs pas nouvelle; la Commission présidentielle sur l’obscénité et la pornographie dans les années 1970 recommandait déjà de ne pas restreindre l’accès à la pornographie en estimant qu’une exposition fréquente pouvait amener les gens à «avoir des attitudes sexuelles plus ouvertes». [47] Les partisans de la pornographie, non seulement la parent de prétendus bienfaits pour la santé en exhibant à loisir des études qui prétendent que l’éjaculation fréquente réduit les risques de cancer de la prostate, mais en font aussi l’éloge pour ses vertus morales: la pornographie rendrait les hommes «plus égalitaires». . . moins sexistes. . . plus ouverts à la diversité sexuelle. . . moins stigmatisants envers l’homosexualité. . . [et] moins religieux.

Alors que le féminisme, la contraception et Hollywood semblent avoir fait un sort au sexe procréatif, la pornographie semble avoir porté un coup fatal au sexe en général. L’accessibilité généralisée de la pornographie sur Internet est un facteur central de la désaffection sexuelle actuelle (phénomène par lequel les jeunes semblent n’avoir jamais eu aussi peu de relations sexuelles), on assiste ainsi à une baisse drastique de la nuptialité.

Les révolutions culturelles juives (la Nouvelle Gauche) et leurs divers avatars comme la pornographie, tous explicitement conçus pour briser la culture et la cohésion sociale, ont produit une génération de jeunes incapables de nouer des relations amoureuses et fécondes. Les Juifs nous assurent que c’est très bien comme ça. Comme l’explique Eva Wiseman (une romancière juive surtout préoccupée d’antisémitisme), la pornographie a rendu les hommes plus dociles et moins avides de relations sexuelles en «étouffant la libido masculine pour les vraies femmes». C’est pourquoi elle pense «qu’il faut continuer de servir à ces jeunes frustrés toujours plus de pornographie». [48]

Les organisations juives se livrent à une débauche tous azimuts d’activités plus ignobles et corrosives les unes que les autres, tout ça pour bien s’assurer que la société blanche reste par terre, désorganisée et donc incapable de discrimination envers les Juifs. Comme mentionné précédemment, les féministes, les activistes de l’avortement, les activistes des droits homosexuels et les pornographes étaient – et sont toujours – d’abord et avant tout mus par l’objectif de rendre la société plus sûre pour les Juifs. C’est aussi pourquoi les Juifs promeuvent le multiculturalisme et l’immigration de masse (voir notamment la citation de David Cole, ici), et même la pédophilie (voir ici).

Dans son dernier livre en date, The Transgender Industrial Complex, Scott Howard montre que le grand mouvement pour normaliser et glorifier la transsexualité est fabriqué de toutes pièces par de riches philanthropes juifs qui font la promotion du transgenre parce qu’ils sont persuadés que cela rendra la société moins perméable au fascisme. Autre exemple récent, le Juif Richard Doblin. Selon la Jewish Telegraph Agency, le fondateur et directeur exécutif de l’Association multidisciplinaire pour les études psychédéliques consacre « sa vie à promouvoir les drogues psychédéliques en tant que . . . police d’assurance contre un nouvel Holocauste». Dans bien des cas, cet activisme – associé à d’autres influences juives – a eu un effet pernicieux sur la civilisation blanche.

Les Juifs et rapaces de la finance internationale ont mondialisé et détruit l’économie, rendant la famille inabordable pour les jeunes; leurs sociétés pharmaceutiques ont drogué les pays jusqu’à la moelle avec leurs opioïdes; leurs ONG migratoires et de réfugiés ont inondé les pays Occidentaux d’envahisseurs non blancs. Si on ajoute à tout cela la banalisation de la pornographie la plus obscène, on comprend comment cette communauté organisée a pu rendre la société blanche littéralement impropre à la reproduction.


L’art de Cleon Peterson, parrainé par la famille Rothschild, a conçu la fresque Endless Sleep sous la Tour Eiffel (à gauche). À côté, deux autres échantillons de son «art», l’un figurant des noirs violant et assassinant des blanches et l’autre des blancs, victimes d’overdoses: il semble que le titre Endless Sleep soit un euphémisme pour évoquer la destruction délibérée de la race blanche.

Les Juifs ont-ils créé « une crise de reproduction de la race blanche » en banalisant la pornographie ?
Verdict : coupable

«Promouvoir le métissage» en «attisant l’attirance sexuelle des blanches pour les Noirs et les Juifs»

Selon Abrams, du fait que «les principaux acteurs des années 1980 sortaient d’écoles juives laïques et les actrices d’écoles catholiques romaines», le scénario pornographique type qui s’est imposé comme modèle fut celui du Juif qui dévergonde la shiksa catholique».

Rapportant les propos que lui a tenus Ron Jeremy, Kulich confirme que les Juifs sont là «pour baiser des chrétiennes» et «réaliser le fantasme de tous les petits Juifs».

De même, Harvey Cohen aurait déclaré: «Comme vous le savez, le fantasme des Juifs, c’est de se taper une aryenne . . . D’ailleurs, pourquoi les pornographes juifs se soucieraient-ils des fantasmes des gentils?» Shiksa est un terme péjoratif yiddish désignant les proies sexuelles aryennes, en clair, des putes.

Cette attitude peut facilement être généralisée à l’ensemble de l’industrie juive du divertissement compte tenu de l’intense prédation sexuelle pratiquée par les Juifs, on pense au tristement célèbre réseau de trafic d’enfants de Jeffrey Epstein. C’est sans doute ce qui a fait dire à Stanley Kubrick, qui a fait des cultes ésotériques juifs d’abus sexuels un sujet central de ses films, que «Hitler avait raison sur presque tout».

«Stanley Kubrick m’a dit, peu après le récent anniversaire d’Hitler, qu’A. H. avait “eu raison sur à peu près tout»

Le propriétaire de l’équipe de football de Washington (anciennement les Redskins), Dan Snyder, a été accusé d’avoir réalisé des vidéos obscènes de ses pom-pom girls et de les avoir prostituées à des amis, un exemple typique de la conduite des patrons juifs du show-business vis-à-vis de leur troupeau de «shiksa». Snyder aurait dit à un entraîneur de pom-pom girls : «Tu ferais mieux de les garder minces avec de gros seins ou je vais te faire ta fête».

Pour en revenir à Hollywood, Larry David a analysé sur SNL le «modèle très dérangeant» qui veut que les harceleurs sexuels dans l’industrie cinématographique soient forcément Juifs. L’article de Tablet Mag «La perversion typiquement juive de Harvey Weinstein» explique pourquoi en décrivant Weinstein comme «un personnage tout droit sorti de Philip Roth, réalisant ses fantasmes de vengeance sur les Goyim».

Mais les shiksas, ah, les shiksas c’est encore autre chose [. . .] Je suis tellement impressionné que je suis dans un état de désir au-delà d’une érection. Mon petit bout circoncis est tout simplement ratatiné de vénération. C’est peut-être la peur. Comment deviennent-elles si belles, si pures, si blondes? Mon mépris pour ce en quoi elles croient est plus que balayé par mon adoration pour leur apparence, leur façon de bouger, de rire et de parler.

L’industrie du porno est connue pour le trafic sexuel et pour profiter des personnes vulnérables ; dans ses essais, Luke Ford a comparé l’industrie du porno à la «traite des esclaves blanches».

Naturellement, les pornographes juifs ne sont pas en reste. Par exemple, Ron Jeremy — que le Jewish Daily Forward qualifie de «votre oncle juif maladroit» — a récemment été inculpé pour viols et agressions sur 21 femmes, notamment sur une fille de 15 ans lors d’une fête à Santa Clarita.

L’année dernière, il y a eu toute une série de cas où ses viols de filles mineures kidnappées ont été présentés sur des grands sites pornographiques juifs qui ont souvent refusé de retirer les vidéos. De plus, l’année dernière, les propriétaires d’une société de production porno, Michael Pratt et Mathew Wolfe (non confirmés comme juifs, bien que le premier soit un nom de famille juif courant), ont été inculpés de plusieurs chefs de trafic sexuel.

Pratt est toujours en fuite (peut-être se cache-t-il en Israël). Il y a plusieurs années, Jean-François Gariépy a attiré l’attention sur un scandale similaire en faisant l’interview d’une jeune blanche à qui on avait fait miroiter une carrière de mannequin et qu’on a forcé à jouer dans des vidéos interraciales violentes. L’interview montre sous un jour cru l’exploitation sans vergogne de la jeune fille qui n’a visiblement pas toute sa tête et semble avoir les facultés cognitives d’un enfant, probablement en raison de lésions cérébrales subies à la suite d’un accident de voiture au cours de son enfance.

À ce sujet, notons que des Juifs comme Seymore Butts et Mike Kulich se sont spécialisés dans le genre porno «violence interraciale, qui fait l’apologie de la violence sexuelle dégradante des noirs envers les blanches. La réticence des actrices blanches à jouer dans ces films est cause de frustration pour les pornographes juifs comme James Deen, qui dit que c’est «énervant, dégueulasse et que ça fait chier . . . C’est raciste et c’est petit et ça m’empêche de faire un bon produit». Même si ce genre de «produit» est moins rentable, les pornographes juifs ont néanmoins pris sur eux de «populariser ou démocratiser» le genre dans le cadre d’une «Croisade pour l’égalité raciale».

À cet égard, l’histoire de Greg Lansky est également extrêmement révélatrice. Greg Lansky est connu comme le «Steven Spielberg du porno» pour son travail consistant à transformer le porno en ce que Rolling Stone décrit comme du «grand art». Lansky a également travaillé à «démocratiser» la pornographie en faisant de la publicité auprès du public le plus large possible: «Les entreprises matures doivent apprendre à avoir une interface digeste sur les réseaux sociaux – une interface sûre pour le travail, sûre pour le public qui veut profiter de la marque. S’ils veulent passer la frontière vers le contenu 18+, ils peuvent cliquer sur un lien. Lansky parle de faire la publicité de son produit sur les plateformes de médias sociaux, où il atteindra les jeunes enfants facilement manipulables. Comme le souligne un article de Jacky Goldberg, «l’art» de Lansky est plus que du porno; c’est une «action politique». Or, quel genre est au centre de sa pornographie «artistique» ? Selon Rolling Stone, il s’agit de «sexe interracial et. . . de la représentation de femmes blanches dominées sexuellement par des hommes noirs bien dotés. Pour promouvoir ce genre, Lansky s’est associé à divers rappeurs en vogue, dont Kanye West. Il a réussi un gros coup publicitaire en proposant à Kanye un contrat pour réaliser un film porno interracial pour sa marque. Lansky est «plébiscité par la communauté afro-américaine» pour sa pornographie interraciale, et Kanye West a publiquement promu sa pornographie, qu’il considère comme son genre préféré. Comme Lansky l’a lui-même déclaré plus haut, il considère son travail dans l’industrie du porno comme une lutte contre la discrimination, sa marque de porno interracial «artistique» vise donc naturellement à glamouriser les relations sexuelles interraciales, en particulier entre les noirs et les blanches. (Ici, on doit faire le parallèle avec le développement vertigineux de la présence de couples mixtes, généralement des noirs avec des blanches, dans la publicité dont les agences sont le plus souvent juives). Et bien entendu, aux côtés des produits de Lansky, on trouve fréquemment des encarts appelant à “violer des chiennes blanches” (on trouvera plus d’informations sur ce sujet ici).

Jack Sen pense que la diffusion de cette pornographie interraciale «a encouragé une augmentation des viols perpétrés par des noirs contre les blanches». Comme l’a montré ci-dessus le dérapage de Kanye, ce type de pornographie est spécialement destiné au public noir et non blanc. Combien de violeurs africains et moyen-orientaux qui ont sexuellement agressé et assassiné des dizaines de femmes et d’écolières blanches à travers l’Amérique, l’Europe occidentale et l’Afrique du Sud avaient visionné ces vidéos représentant de petites et très jeunes blanches en costumes d’écolière violemment sodomisées par les Africains?

À noter qu’en début d’année, une jeune française de 18 ans, Victorine Dartois, a été violée et assassinée par un noir. Il se trouve que le frère de l’accusé téléchargeait des dessins de ses fantasmes sexuels interraciaux sur Youtube.

Les pornographes juifs assouvissent-ils leurs désirs de blanches via la pornographie, et l’utilisent-ils pour «promouvoir le métissage» en «attisant l’attirance sexuelle des blanches pour les Noirs et les Juifs

Verdict : coupable du péché.

Les conséquences

Traiter de la pornographie hardcore n’a rien de ragoutant, mais c’est nécessaire en raison de sa profonde influence sur le façonnage des mentalités dans le monde moderne.

Aujourd’hui, environ 89 % des jeunes hommes et 31 % des jeunes femmes admettent avoir regardé de la pornographie hardcore sur Internet, et l’âge moyen de la première consultation est estimé à 11 ans. Google Analytics montre que le trafic pornographique augmente de 4 700 % après les heures de classe, lorsque les enfants rentrent de l’école. L’omniprésence de la pornographie est telle, y compris la représentation d’activités fétichistes particulièrement déviantes et extrêmes, qu’elle est maintenant identifiée par les études comme une des expériences «formatrice» de l’enfance. Comprendre toutes les implications sociologiques de la pornographie est ardu étant donnée la quasi-impossibilité de trouver un groupe témoin qui n’aurait pas été exposé à la pornographie hardcore. On peut cependant raisonnablement estimer que l’industrie du porno a une influence profonde, sinon centrale, sur la formation de la sexualité des jeunes et leurs attitudes envers les membres du sexe opposé. Et, comme on l’a vu, les vidéos produites sont délibérément anti-blanc de plus en plus cru, déviant et haineux conçu pour repousser les limites de l’acceptable et pour choquer et désensibiliser les téléspectateurs.

Par exemple, la copie d’écran d’une vidéo porno interraciale mettant en scène une actrice avec des bretelles, des nattes et une poitrine plate – c’est-à-dire faite pour ressembler à un adolescent de 13 ans – entourée d’Africains est devenue un mème viral qui a été partagé et adapté des millions de fois en ligne. Le mème est si omniprésent que les jeunes l’imitent. Des lycéens à peine âgés de 16 ans, se prenant pour des producteurs de porno, ont mis en ligne des vidéos les représentant eux-mêmes «écrasant de petits animaux à mort tout en accomplissant des actes sexuels», cela se passait à Cape Town, en Afrique du Sud.

Ce ne sont là que quelques exemples illustrant la portée et les conséquences de la « culture porno » sur les jeunes. La pornographie sur Internet a eu un effet néfaste terrible sur notre psyché culturelle. C’est tout une génération dont l’innocence a été bafouée, profanée, la moralité corrompue. Et le fait est que nos amis juifs sont en grande partie responsables de la légalisation, de la création et de la distribution de cette crasse toxique. Ils n’ont pas eu besoin pour cela d’occuper militairement l’Amérique, de mettre la main sur ses stations de télévision pour bombarder de pornographie les civils comme à Ramallah il y a vingt ans. Ils y sont simplement parvenus en trahissant la confiance du pays qui les avait sauvés de la persécution en Europe et qui les avait accueillis comme réfugiés, en manipulant ses lois et en s’engageant dans une guerre culturelle au sein d’un marché sans méfiance et sans défense. Ce que Tsahal a fait pour dissoudre l’esprit de résistance des habitants de Ramallah, ou que la NSA a fait par ses opérations noires pour miner la combativité des fondamentalistes djihadistes, a été fait contre l’Occident par le biais de son industrie du divertissement.

La pornographie – tout comme l’avortement, le féminisme, les droits des homosexuels et la normalisation de la pédophilie – est promue par le groupe ethnique le plus riche et le plus efficacement organisé de la planète comme une forme d’activisme politique ethnique. Les Juifs voient la pornographie comme un outil pour lutter contre le «fascisme» et la discrimination sociale, et pour rendre la société sûre pour les Juifs. Le porno est la voie royale d’un grand projet judéo-culturel-marxiste visant à déconstruire les valeurs de la civilisation blanche et occidentale, à tarir les sources de sa vision du monde, à la vider de sa substance. La pornographie est une arme, une forme de « terrorisme culturel », et les Juifs l’admettent sans problème. Il suffit d’écouter les paroles du rabbin Daniel Lapin à sa communauté:

Au lieu de nous retourner contre des ennemis imaginaires, nous devrions nous demander si notre soutien inconditionnel d’une vision laïque-libérale n’encouragerait pas l’aversion pour la communauté juive. Sans une telle auto-évaluation honnête, les Juifs deviendront de plus en plus détestés – non pas par des extrémistes illuminés, mais par des Américains paisibles, effarés par l’effondrement de leur culture et exaspérés par le rôle que les Juifs y jouent. Il ne peut échapper à l’attention de l’Américain le plus ordinaire, confronté au défi d’élever des enfants responsables dans un environnement devenu toxique, que de nombreux noms et groupes juifs mènent le combat pour des politiques que ces Américains considèrent comme étant à l’origine du déclin du pays. [49]

C’est juste. Un peu partout, des blancs respectables commencent à comprendre.

Et ils en ont par-dessus la tête.

Traduction Francis Goumain

* * *

Via Birth of a New Earth. originally published at Counter-Currents; see full credits and links at

Part 1

Part 2

Part 3

Notes

[1] Kristoff Kerl, “Oppression by Orgasm: Pornography and Antisemitism in Far-Right Discourses in the United States Since the 1970s,” Studies in American Jewish Literature, 2020, pp. 130, 123, 124, 125, 129.

[2] Luke Ford, Jews in Porn.”

[3] Josh Lambert, “My Son, the Pornographer,” Tablet Magazine, 2010.

[4] An anonymous user compiled a list of old newspaper articles, archived here.

[5] Alix Wall, “In ‘Circus of Books,’ A Nice Jewish Couple Finds Success in Gay Porn,” Jewish Daily Forward, 2020.

[6] Naomi Pfefferman, “A Nice Jewish Porn Star,” Jewish Journal, 2001.

[7] Ford.

[8] Robert J. Stoller, Porn: Myths for the Twentieth Century (New Haven: Yale University Press, 1991), p. 153.

[9] Emily Shire, “The Jewish Porn Star Next Door,” Jewish Daily Forward, 2013.

[10] Roth v. United States, 354 U.S. 476 (1957).

[11] Al Goldstein, I, Goldstein: My Screwed Life (New York: Thunder’s Mouth Press, 2006), p. 229.

[12] E. Michael Jones, “Rabbi Dresner’s Dilemma: Torah v. Ethnos,” Culture Wars, May 2003.

[13] Nathan Abrams, “Triple-Exthnics: Nathan Abrams on Jews in the American Porn Industry,” Jewish Quarterly, 2004.

[14] Ford.

[15] Abrams.

[16] Cited in Abrams.

[17] Michael Loewy, Georg Lukács from Romanticism to Bolshevism (London: NLB, 1979), p. 130.

[18] Patrick J. Buchanan, The Death of the West: How Dying Populations and Immigrant Invasions Imperil Our Country and Civilization (New York: St. Martin’s Press, 2002), p. 75.

[19] Loewy, 151-152.

[20] Wilhelm Reich, Passion of Youth: An Autobiography, 1897-1922 (New York: Farrar, Straus and Giroux, 1988), pp. 6, 22, 102, 44.

[21] Wilhelm Reich, The Mass Psychology of Fascism (New York: Orgone Institute Press, 1946), pp. 24-25.

[22] Ibid., 168-169.

[23] Philip W. Bennett, “The persecution of Dr. Wilhelm Reich by the government of the United States,” International Forum of Psychoanalysis, 2010, p. 52.

[24] David Held, Introduction to Critical Theory: Horkheimer to Habermas (Berkeley: University of California Press, 1980), 15.

[25] Karl Marx, A Contribution to the Critique of Political Economy (Moscow: Progress Publishers, 1859), p. 4.

[26] Else Frenkel-Brunswik, “The Authoritarian Personality, Studies in Prejudice Series, Volume 1” (American Jewish Committee, 1950), pp. 339-340.

[27] Cited in Kevin MacDonald, The Culture of Critique: An Evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-century Intellectual and Political Movements (Bloomington: AuthorHouse, 2002), p. 158.

[28] Ibid., 162.

[29] Nathan Glazer, “New light on The Authoritarian Personality: A survey of recent research and criticism,” Commentary, 1954.

[30] Max Horkheimer, Critical Theory: Selected Essays (New York: Continuum, 2002), pp. 242, 248, 230.

[31] Kate Connolly, “Sixties hero revealed as kindergarten sex author,” The Guardian, 2001.

[32] Herbert Marcuse, Counterrevolution and Revolt (Boston: Beacon Press), pp. 93, 1.

[33] Joseph Cunningham, “Praxis Exiled: Herbert Marcuse and the One Dimensional University, Journal of Philosophy of Education, 2013, p. 539.

[34] MacDonald, xxxiv.

[35] Ibid., 112.

[36] Ibid., 115.

[37] Abrams.

[38] Abrams.

[39] Jones.

[40] Tzach Yoked, “Artful Porn and anti-Semitic Threats: The Man Behind the ‘HBO of Adult Films’ Bares All,” Haaretz, 2019.

[41] Abrams.

[42] Jones.

[43] Goldstein, 2.

[44] Ibid., 196, 265.

[45] Ibid., 219.

[46] Jones.

[47] The Report of the Commission on Obscenity and Pornography (US Government Printing Office: Washington, DC, 1970).

[48] Eva Wiseman, “Why disaffected young men need more pornography,” GQ, 2018.

[49] Daniel Lapin, America’s Real War (New York: Crown Publishing Group, 2012).

* * *

Source: read the full article at Birth of a New Earth; originally published at Counter-Currents

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