Israël, Terre d’Asile de la Grande Arnaque
A French translation of Andrew Joyce’s “Israel: a Refuge for Swindlers.” Since this article can no longer be published in France with any assurance that it will stay online or that, if it does, the publishers will not be persecuted, we will publish it here on NV. The English version may be found here.
par Andrew Joyce, Ph.D.
«La plupart des Juifs sont des voleurs» remarquait désabusé David Ben Gourion, le père fondateur d’Israël, en apprenant que ses soldats avaient profité de la guerre pour ramener avec eux des tapis persans de propriétés arabes qu’ils venaient de piller. S’il revenait aujourd’hui, il ne verrait sans doute aucune raison de changer d’avis et ne serait guère surpris de constater qu’Israël est devenu une plaque tournante de la fraude internationale.
Netflix a récemment fait un tabac avec son documentaire sur Shimon Hayut, The Tinder Swindler, l’escroc israélien, fils de rabbin, qui a réussi à soutirer plus de 10 millions de dollars à ses victimes féminines, principalement Scandinaves.
Le modus operandi de Hayut n’était autre qu’un des classiques préférés des criminels en col blanc juifs – la pyramide de Ponzi, simplement teinté d’une touche de romantisme. Se présentant sur Tinder (une application de rencontres) sous le pseudonyme de Simon Leviev, Hayut disait à ses proies qu’il était le fils de Lev Leviev, PDG de l’un des plus grands négociants en diamants au monde. Il commençait par leur offrir des cadeaux dispendieux et des voyages en jet privé (bien entendu, financés par une précédente victime), avant de leur servir une histoire à dormir debout comme quoi il était menacé par des ennemis – des inconnus, forcément – qu’il avait provisoirement besoin d’un prêt, dans l’attente d’un «accord imminent» portant sur plusieurs millions de dollars, qui lui permettrait en retour de leur rembourser plusieurs fois la somme prêtée. Un adroit chantage affectif était ensuite exercé pour pousser les femmes à s’endetter auprès des banques, cela pouvait allait jusqu’à 300 000 dollars. Dès qu’il avait tiré le maximum d’une femme, Hayut passait à la suivante, se servant d’une partie des fonds déjà extorqués pour l’appâter à son tour. Allant ainsi de femme en femme et de pays en pays, Hayut filait un train de vie somptueux, fait de voyages, de caviar et de vêtements de grands couturiers, jusqu’à ce qu’un journal norvégien contribue enfin à son arrestation en Grèce, en 2019, pour utilisation de faux passeport. Il était alors expulsé en Israël où les autorités l’ont libéré au bout d’à peine cinq mois. Il y vit en toute liberté, toujours aussi riche. Même si le documentaire de Netflix – devenu viral – est passionnant et bien ficelé, il fait totalement l’impasse sur le travail de contextualisation et de mise en perspective du cas Hayut. Sa carrière de fraudeur y est principalement présentée sous l’angle des risques liés aux rencontres en ligne et aussi comme une sorte de revanche féministe, ce qui ne manque pas d’airs étant donné que les femmes se sont littéralement vautrées dans le panneau, d’ailleurs pour partie en raison de leur propre goût du lucre, et que la peine subie par Hayut était en fin de compte assez bénigne. C’est à peine si le documentaire relève que l’escroc a démarré sa carrière dès l’adolescence, ce qui soulève pourtant inévitablement des questions sur l’influence «culturelle» de son milieux, il ne s’attarde pas non plus sur son goût particulier pour les proies scandinaves. Mais l’omission la plus béante, c’est d’ignorer à quel point Hayut s’inscrit, d’une manière pourtant si caricaturale, dans une longue lignée d’escrocs israéliens, omniprésents sur la scène internationale mais assurés de trouver un système judiciaire très compréhensif en Israël en cas de pépin.
Une Spécialité Israélienne
La fraude internationale en tous genres est une industrie en Israël. L’agence israélienne de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme reçoit régulièrement des demandes d’information de la part de ses homologues d’une vingtaine de pays à travers le monde. Les principaux délits au centre de ces demandes sont «Le blanchiment d’argent, la fraude, en particulier les escroqueries à l’investissement, les contrats à terme et les escroqueries au Forex, les pots-de-vin et la corruption, la contrefaçon et les jeux d’argent illégaux». S’il existe un moyen de soulager quelqu’un de son argent, vous pouvez être sûr qu’il y a un Israélien quelque part qui fait tout pour s’en servir au mieux. En juin 2021, une opération menée par la police allemande a permis l’arrestation d’un dizaine de Juifs de différentes nationalités pour l’exploitation de faux sites d’investissement au moyen desquels des petits investisseurs en Europe ont été escroqués d’environ 36 millions de dollars. Dans l’arnaque qui, selon Europol, était «principalement organisée par des ressortissants israéliens», les criminels exploitaient les faux sites d’investissement Tradorax, Tradervc, Kayafx, Kontofx et Libramarkets. Tradorax se servait de la plate-forme fournie par l’israélien SpotOption, qui a été accusé de fraude par la Securities and Exchange Commission des États-Unis en avril 2021. Selon Europol, le réseau réussissait à attirer des milliers de victimes en faisant de la publicité sur les réseaux sociaux et les moteurs de recherche. Ces victimes étaient incitées à investir dans des options à haut risque, des CFD (Contrat sur la Différence) ou des crypto-monnaies, mais, d’après la police allemande, l’argent n’était en fait jamais investi mais simplement détourné au profit du réseau. Lors de raids dans plusieurs pays, la police a saisi des appareils électroniques, des biens immobiliers, des bijoux, des véhicules haut de gamme et environ 2,4 millions de dollars en espèces.
L’affaire n’est pas sans rappeler celle des frères Cartu, des canado-israéliens. En mai 2020, la Commission de surveillance des marchés de l’Ontario portait des accusations au civiles contre David, Jonathan et Joshua Cartu pour avoir démarché des Canadiens pour négocier des contrats à terme. Le préjudice pour les seuls habitants de l’Ontario se monte à 1,4 million de dollars, mais à l’échelle mondiale, il est estimé à 233 millions de dollars. Les frères vivent aujourd’hui très à l’aise et tranquille en Israël, sachant que «les procureurs israéliens n’ont encore jamais inculpé personne pour des fraudes sur les marchés à terme». Le Times of Israel fait observer que l’histoire des frères n’est qu’un cas parmi d’autres, «des centaines d’entreprises en Israël emploient des milliers d’Israéliens qui auraient escroqué des milliards à leurs victimes de par le monde».
Il y a cinq mois, c’était au tour de 26 Israéliens d’être arrêtés pour une arnaque à la crypto-monnaie qui visait des investisseurs américains sur le Forex. Les «Loups de Tel-Aviv» comme on les appelle, plaçaient des produits bidons et conservaient l’argent des victimes. Selon un communiqué de la police, «la totalité des 26 suspects sont des résidents d’Israël tandis que toutes leurs victimes vivent à l’étranger». Et i24News, la chaîne d’information israélienne de conclure: «Israël est devenue en quelques années une plaque tournante majeure de la fraude en ligne». Un mois plus tard, c’est le propriétaire du Beitar, le club de foot de Jérusalem, Mosche Hogeg, qui était arrêté avec sept de ses acolytes, toujours dans le cadre d’une fraude à la cryptomonnaie, le préjudice se montant à des centaines de millions de dollars.
Un Paradis pour les Criminels
Une antériorité en matière d’extradition réduite au strict minimum, jointe aux confortables avantages fiscaux prévus pour les millionnaires, font qu’Israël en général et Tel Aviv en particulier jouissent d’une très bonne réputation auprès des criminels. Constatant «l’industrialisation massive de la fraude en ligne», potentiellement de nature à «saper la réputation économique d’Israël et à attiser l’antisémitisme», le Times of Israel faisait remarquer qu’une loi de 2008 avait agi comme «un véritable pousse au crime et un clin d’œil adressé aux fraudeurs fiscaux et à tous ceux qui avaient de l’argent à blanchir à venir s’installer en Israël». La loi prévoit une exonération fiscale de 10 ans sur les revenus gagnés à l’étranger aux olim hadashim (nouveaux immigrants) ainsi qu’aux toshavim hozrim vatikim (résidents de retour qui ont vécu à l’étranger pendant au moins 10 ans). La loi prévoit également une dispense de déclaration de dix ans sur les revenus réalisés à l’étranger par ces même catégories de personnes à partir de leur installation en Israël: un aimant pour les escrocs Juifs.
La semaine dernière, s’ouvrait en Californie le procès «en absence» du chirurgien plasticien David Morrow et de sa femme, Linda, surnommés «Les Bonnie and Clyde Juifs» depuis qu’on avait découvert, deux ans plus tôt, qu’ils avaient pratiqué l’une des fraudes les plus importantes, et à la fois des plus écœurantes, de toute l’histoire de la Californie en matière de santé.
Au total, les Morrows auraient coûté aux compagnies d’assurance entre 25 et 65 millions de dollars pour des soins sans la moindre justification médicale. Selon le Jerusalem Post:
Membres actifs et très respectés des communautés juives orthodoxes de Beverly Hills, Los Angeles et Palm Springs, ils contribuaient très généreusement aux causes juives. … Selon le procureur du district central de Californie, «Ils ont été arrêtés pour des fraudes aux assurances-maladie pour des montants s’élevant à plusieurs dizaines de millions de dollars pour des procédures cosmétiques qui n’étaient pas médicalement nécessaires». Ajoutez à cela qu’il était accusé de fraude fiscale et de tromperie par courrier postal, le Dr Morrow était dans de sales draps. Il était condamné, par contumace, à 20 ans de prison et son autorisation d’exercer lui était retirée. Dans sa décision, la juge Josephine L. Staton relevait que «la cupidité de Morrow ne connaissait aucune limite» et qu’il montrait un «mépris total pour le bien-être et la sécurité des patients».
Si les Morrows étaient condamnés par contumace, c’est parce qu’entre temps ils s’étaient empressés de liquider leurs avoirs et de s’installer en Israël où, au milieu de leurs congénères, plus personne n’irait leur poser de questions sur l’origine de leur fortune. Selon leurs voisins en Israël, avant que le FBI ne parvienne enfin à obtenir une exceptionnelle extradition (pour Linda – David résiste depuis une prison israélienne, «ils étaient très actifs au sein de la congrégation, se rendaient aux shiurim (classes) et avaient des responsabilités dans la synagogue».
En 2017, le Times of Israel faisait état de l’arrestation de «35 personnes soupçonnées d’exploiter un réseau de centre d’appels pratiquant des arnaques financières à distance de sécurité». Ces centres d’appels clandestins installés à l’intérieur d’appartements résidentiels dans les villes d’Ashkelon, d’Ashdod et de Netanya, visaient des pigeons en Europe et en Amérique du Nord. L’une des méthodes couramment pratiquée étant l’escroquerie du PDG, désormais bien connue, dans laquelle les fraudeurs se faisaient passer pour des cadres supérieurs d’une entreprise européenne et persuadaient les employés de virer de l’argent en urgence sur les comptes bancaires israéliens. D’autres contactaient des entreprises en Europe, leur vendant des biens et des services dont elles ne voyaient jamais la couleur. Un procureur allait même jusqu’à s’inquiéter en public du fait que «le phénomène ait pris l’ampleur d’un fléau national, tant en Israël qu’à l’étranger, et que cela commençait à sérieusement ternir la réputation d’Israël et des Juifs en général, partout dans le monde». Le Times of Israel faisait remarquer que nombre des personnes arrêtées sont des Juifs d’Amérique et de France qui se faisaient assister par «des milliers d’Israéliens».
L’exemple le plus frappant reste bien entendu ce que l’on a appellé «l’arnaque du siècle», au cours de laquelle plus d’un milliard d’euros ont été détourné de novembre 2008 à juin 2009 au détriment de l’administration fiscale française. La fraude était l’œuvre de Juifs français: Arnaud Mimran, Marco Mouly et Samy Souied agissant depuis un bureau de Tel Aviv. Le trio était assisté d’un nombre non négligeable de congénères, le Times of Israel rapportant que «six des accusés étaient jugés par contumace et vivraient en Israël».
Dans un entretien accordé au Times of Israel en mai 2016, Laurent Combourieu, directeur des enquêtes de l’Autorité des marchés financiers (AMF), déclarait qu’il y avait des chevauchements entre les citoyens franco-israéliens impliqués dans la fraude et les acteurs derrière la vague de fraudes commerciales en ligne qui balaye en ce moment la France. Au cours des six dernières années, selon le procureur de Paris, les citoyens français ont perdu 4,5 milliards d’euros dans le commerce en ligne et les escroqueries aux PDG, dont beaucoup perpétrées depuis Israël.
Qu’Israël soit une base arrière de la criminalité internationale juive est en outre confirmé par cet échantillonnage aléatoire effectué par les services fiscaux israéliens des comptes bancaires des nouveaux immigrants installés en Israël entre 2008 et 2012. Il était constaté «qu’un compte sur six s’avérait avoir une activité irrégulière de nature à déclencher un signalement pour suspicion de blanchiment d’argent». En 2013, le Forum mondial de l’OCDE sur la transparence et l’échange d’informations fiscales faisait pression sur Israël pour qu’il abroge l’exemption de déclaration de revenus des nouveaux immigrants et des anciens résidents de retour, dans le but de mettre un terme à ce que beaucoup considèrent comme une faveur et un encouragement à la criminalité internationale.
En mai la même année, Israël donnait son accord de principe à une telle modification de sa législation, mais neuf ans après, on l’attend encore. Dans le Rapport sur la stratégie internationale de contrôle des stupéfiants (INCSR) publié par le Département d’État américain, Israël est présenté comme un «acteur majeur du blanchiment d’argent». Le rapport ajoute que:
La législation israélienne sur «la citoyenneté et le droit au retour» donne aux criminels toute latitude pour obtenir facilement un passeport israélien sans avoir à satisfaire à de longues conditions de résidence. Il n’est pas rare que des personnalités criminelles soupçonnées de blanchiment d’argent détiennent au moins deux passeports, celui du pays de leurs affaires et celui d’Israël, et parfois un troisième, celui de leur vrai pays de résidence.
Quelques Considérations
Déjà dans Mein Kampf, Hitler avait vu que «ce que [les Juifs] visent vraiment, c’est d’établir une organisation centrale pour leurs escroqueries et leurs arnaques internationales: un État souverain, qui en tant que tel, ne pourrait être contrôlé par aucun autre et qui pourrait donc servir de refuge aux escrocs repérés, en même temps que d’école pour la formation des nouvelles générations». Tout bien considéré à la lumière des faits présentés ci-dessus, on ne peut que s’incliner devant une telle prescience, bien loin de relever des prédictions d’une diseuse de bonne aventure, même si d’aucuns pourraient estimer qu’elle se fonde sur des préjugés et des stéréotypes particulièrement antisémites. Le premier de ces présupposés, c’est que les Juifs entretiennent une relation particulière avec l’argent ou ont un intérêt marqué pour celui-ci. Une telle hypothèse posée sur une ethnie amène évidemment à prédire un certain nombre de conséquences. Le groupe en question pourrait être, en moyenne, plus riche que les autres et produire davantage de milliardaires. Sa criminalité pourrait également se refléter moins dans les infractions avec violence que dans celles qui sont le plus directement corrélées à la quête de la fortune.
Et en effet, toutes les statistiques le montrent, les Juifs sont plus riches que les autres. C’est pareil dans le champ de la criminalité, ce sont aussi eux les gagnant de la course à la richesse. En 1971, A. Menachem de la Berkeley School of Criminology publiait une étude dans Issues in Criminology intitulée «Criminality Among Jews: An Overview».[1] Dans cette étude, Menachem fait apparaître que «La criminalité juive a tendance à être plus élevée que celle de n’importe quel autre groupe religieux en ce qui concerne les délits en col blanc, c’est-à-dire les délits commerciaux ou liés au commerce, tels que la fraude, la faillite frauduleuse et le détournement de fonds». En 1988, Stanton Wheeler de l’Université de Yale publiait «White-Collar Crimes and Criminals» pour la bibliothèque d’études juridiques de la Yale Law School. Il y relève que si les Protestants et les catholiques sont sous-représentés chez les criminels en col blanc par rapport à leur poids dans la population, les Juifs par contre y étaient largement surreprésentés avec 15,2% des délits alors qu’ils ne représentent que 2% de la population. Wheeler estime: «Qu’un un bon résumé de nos données serait de dire que, sur le plan démographique, les délinquants en col blanc sont principalement des hommes blancs d’âge moyen avec une surreprésentation des Juifs.
Même si les statistiques de Stanton parlent elles-mêmes, une image plus détaillée se dégage dans l’ouvrage Crimes of the Middle Classes: White-Collar Offenders in the Federal Courts(1991) de David Weisburd publié à Yale. Weisburd nous y apprend que si les Juifs ne représentent qu’environ 2 % de la population des États-Unis, ils contribuent pour au moins 9 % aux petits délits en col blanc (fraude fiscale et fraude bancaire), à au moins 15 % des délits en col blancs de catégorie moyenne (fraude postale, fausses déclarations et pots-de-vin) et au moins 33% des délits en col blanc de catégorie supérieure (fraude antitrust et fraude en valeurs mobilières). Les données remises à jour de Weisburg montrent que dans l’ensemble, les Juifs comptent pour 23,9% la délinquance financière en Amérique, un taux passablement ahurissant.[2] Rien qu’au vu de ces données, et sans s’attarder sur leur passif historique maintes fois retracé, l’argument selon lequel la prédilection des Juif pour les coups fourrés financiers ne serait qu’une simple médisance de bas étage ne tient pas.[3] Vouloir être riche et le devenir réellement, légalement ou non, sont évidemment deux choses différentes. Les Juifs sont doués en affaires, y compris criminelles, de par les mêmes traits de fond qui leur réussissent si bien dans la vie sociale et politique: ethnocentrisme, intelligence, acuité psychologique et agressivité.[4]
L’ethnocentrisme joue un rôle évident s’agissant des escroqueries à distance basées en Israël. Bon nombre de ces fraudes à grande échelle sont pratiquées par des bandes composées d’Américains, de Bulgares, de Canadiens, de Roumains, d’Italiens, etc., dont le seul point commun tangible est leur origine ethno-religieuse commune. L’activité criminelle est intrinsèquement risquée, ce qui rend le niveau de confiance entre les individus de nationalités aussi variées d’autant plus remarquable. Associé au ciblage presque exclusif de non Juifs (citoyens américains, canadiens, européens et autres), le caractère clanique de ces groupes issus de la diaspora et basés en Israël souligne la force de l’ethnocentrisme en tant que fondement du crime financier international israélien.
Autre fait qui vient corroborer le poids de l’ethnocentrisme juif et de la solidarité intracommunautaire, c’est le réflexe qu’ont tous les escrocs de cette communauté d’aller se réfugier en Israël lorsqu’ils sont démasqués, visiblement, ils comptent trouver là réconfort et compréhension de la part de leurs congénères. Du moment qu’ils n’ont berné que des Goys et pas d’autres Juifs, ils s’attendent manifestement à ce que l’État d’Israël leur offre asile et protection, ils trouvent ça tout naturel, et le plus souvent, au vu des peines légères ou même de l’absence d’enquête, ils n’ont pas tort.
L’intelligence est également une des clés du succès de ces fraudes à distance depuis Israël. Un grand nombre des pratiques évoquées ci-dessus sont relativement complexes, nécessitant un niveau élevé de compréhension des marchés financiers internationaux, des pratiques bancaires, des vides juridiques, des différences dans les normes et législations nationales, de la conception de sites Web et de logiciels, de l’optimisation des moteurs de recherche et de toutes les compétences liées au blanchiment d’argent.
Comme mentionné ci-dessus, les Israéliens sont derrière certaines des plus grandes arnaques de l’histoire financière de plusieurs pays, et pour cause, il s’agit souvent de fraudes contre les États eux-mêmes. Ces fraudes ont été rendues possible grâce à la coopération d’un grand nombre de Juifs, très intelligents, maîtrisant plusieurs domaines, exclusivement animés par un même et unique but: la recherche malhonnête de la fortune.
L’assiduité, la ténacité extrême dont ils font preuve dans cette quête est évidemment rendue possible par une acuité psychologique très fine. Dans bien des cas, les fraudes exigeaient une audace et un doigté extraordinaire, par exemple lorsqu’il s’agissait d’usurper l’identité de grands PDG ou même de personnalités gouvernementales.
Un exemple fameux qui restera dans les annales, c’est cette affaire en 2019 qui aura rapporté 90 millions de dollars à ses instigateurs. Se faisant passer pour le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves le Drian, rien que ça, ils appelaient différents chefs d’État, ambassadeurs, membres du clergé et des personnalités du monde des affaires en Afrique, leur demandant d’aider la France à régler les rançons de citoyens français enlevés par des groupes terroristes comme l’EIIL.
L’imposteur enfilait un masque en silicone sur mesure de la tête du ministre français et s’adressait à ses cibles via Skype depuis un bureau décoré du drapeau français et d’un portrait d’Emanuel Macron. Les quatre chefs du réseau ont finalement été arrêtés à Netanya, une ville qui se hisse immédiatement derrière Tel Aviv par le nombre d’escroqueries internationales qu’elle a abritées.
Les Français étaient tellement outrés qu’un officier de police israélien a dû mettre en garde le juge de l’affaire en lui expliquant il ne s’agissait pas d’un cas ordinaire, mais «D’une affaire aux répercussions diplomatiques internationales, particulièrement sensible, qui avait provoqué un incident diplomatique entre nos deux pays».
Bien conscient du problème, le Times of Israel déplore «qu’une recherche sur Internet pour «arnaque» et «Israël» en français remonte des centaines d’articles, dont beaucoup accompagnés d’une litanie d’insultes antisémites dans la section des commentaires. … Malgré les dommages que ces activités frauduleuses causent à la réputation d’Israël, les forces de l’ordre israéliennes procèdent à très peu d’arrestations et poursuivent de moins en moins les suspects depuis les dix ans ou plus que le phénomène est apparu».
Enfin, comme toute criminalité, ces fraudes requièrent de l’agressivité. Un aspect intéressant mis en évidence dans le Tinder Swindler c’est la manière dont Shimon Hayut laisse tomber le voile dès qu’il comprend qu’il n’y a plus d’argent à tirer d’une femme: les menaces et les insultes pleuvent aussitôt. On s’aperçoit que ce n’est finalement pas qu’une question d’argent, que la motivation fondamentale derrière la plupart de ces escroqueries, c’est la rancœur, le ressentiment, il s’agit par ces manipulations de punir, de faire souffrir, d’exprimer tout le mépris vindicatif qu’on a pour les victimes goys. C’est en fait une guerre des Juifs contre les Gentils, cela ressort très nettement dans les cas où, comme avec les Morrows, une partie du butin est reversée à des causes caritatives Juives, ce qui nous renvoie encore à l’ethnocentrisme forcené.
La crainte manifestée par la presse israélienne et certains responsables gouvernementaux qu’une telle activité ne conduise à une augmentation de l’antisémitisme reviennent en fait à une reconnaissance tacite de ce que les hypothèses «antisémites» au sujet des traits associés aux Juifs (appât du gain, ethnocentrisme, intelligence, acuité psychologique et l’agressivité) ne sont pas si totalement dénués de fondements. Ce que les autorités appréhendent en fin de compte, c’est que s’il y avait une prise de conscience générale dans le public au sujet de ces fraudes d’envergure internationales, cela pourrait venir ruiner des années d’efforts passées à dénoncer ces hypothèses comme fausses ou sectaires, ruiner aussi toute la propagande destinée à convaincre qu’Israël est un ami et un allié naturel des nations occidentales.
La réalité, c’est qu’Israël est heureux de recueillir dans son économie le fruit des pillages à l’étranger, sans se soucier outre mesure de l’opinion des autres nations à son sujet. Le fondateur de la nation n’en serait sans doute pas surpris du tout.
[1] Amir Menachem, “Criminality Among Jews: An Overview,” Issues in Criminality, Volume 6, Issue 2, (Summer 1971), 1-39.
[2] D. Weisburg, Crimes of the Middle Classes: White-Collar Offenders in the Federal Courts (Yale University Press, 1991), 72
[3] For example, across Europe, between 1881 and 1914, Jews were over-represented in bankruptcy, forgery, fraud and libel. See P. Knepper, The Invention of International Crime: A Global Issue in the Making, 1881-1914, (Palgrave MacMillan, 2010), 80. The trend, of course, went much further back in history.
[4] K. MacDonald, “Background Traits for Jewish Activism,” The Occidental Quarterly: A Journal of Western Thought and Opinion (Summer 2003): 1-37.
Traduction Francis Goumain
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Source: Occidental Observer